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Graffitis street art en espagne

Art + Design

FELIPE PANTONE – LE GRAFFEUR QUI TOMBE A PIC

C’est monsieur street art en Espagne, le visage caché comme Banksy, cet argentin avant-garde et ultra-plébiscité n’est pourtant pas le Marty McFly du graff même s’il connait l’alphabet du siècle prochain!

Psychés, géométriques, cryptés et abstraits, les graffitis de Felipe Pantone s’extirpent de l’analogie au « vandale », pour aller ronronner légalement au musée, dans des clubs, le long d’une péniche et même sur une Porsche! Touche à tout quand il s’agit de taquiner de la bombe aérosol, cet argentin s’est même accaparé au fil du temps une place sur le podium des graffeurs pluridisciplinaires les plus influents en Espagne! Sa dope? L’art cinétique.

Catapultage acidulé de lettrages dopés de LSD, dans des contrées graphiques survolées d’un spectre de lumière qui bug (effet glitch)! Felipe Pantone aka Pant, basé à Valence depuis ses 10 ans, n’est pas le Marty McFly du graff même s’il connait l’alphabet du siècle prochain!

Dans sa série « Kinetic Mundi« , ce « devenu » street artist, s’improvise plutôt pourvoyeur de monde parallèle, influencé par l’esthétique de son idole, l’artiste plasticien Cruz-Diez.

Plus accessible que Banksy et moins camouflé que Daft Punk, ce fada de handstyle et d’internet « parce qu’il peut plonger toute l’histoire de l’humanité dans sa poche », se cache systématiquement le visage lors d’interviews ou de shootings, laissant ainsi planer une part de mystère autour de son personnage, même si son art dynamiteur d’espace temps pullule à travers le globe, plébiscité partout sauf au Japon où il fut jeté 11 jours en prison!

 

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