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Musique

De la douceur et de l’humour pour Angèle dans « Balance ton quoi »

Après s’être faite découvrir aux côtés de son aîné Roméo Elvis, Angèle illumine la scène pop française par un style enchanteresse qui lui aura valu tous les suffrages.

Après s’être faite découvrir aux côtés de son aîné Roméo Elvis, Angèle illumine la scène pop française par un style enchanteresse qui lui aura valu tous les suffrages. La jeune belge continue son ascension et dévoile aujourd’hui le clip du titre « Balance ton quoi », avec comme invité d’honneur Pierre Niney.

Titre de phare de son premier opus sorti en Novembre dernier, dans « Balance Ton Quoi » Angèle aborde avec douceur et ironie les questions de sexisme en tentant de déconstruire les schémas sociaux durement ancrés, dans un visuel léché et drôle à souhait. Avec un scénario qu’elle co-écrit avec la réalisatrice Charlotte Abramow, Ophélie Secqe et Pierre Niney, la jeune chanteuse interroge les rôles de la justice et de l’éducation dans la lutte en faveur de l’égalité des sexes.

Le métrage débute par une scène dans un tribunal imaginaire, dans lequel l’artiste incarne tour à tour les rôles de juge, avocate de la défense, victime mais aussi coupable. Devant elle, les accusé(e)(s) défilent, hommes, femmes, jeunes, vieux, comme pour montrer que le sexisme n’a ni genre, ni milieu social ou culture. La sentence que prononce Angèle, expédie directement les coupables à l’ « Anti-Sexism Academy », où les punis deviennent des élèves, coaché(e)(s) par une équipe de « Feminist-in-progress », un lieu de formation où l’empathie et la communication deviennent les mots d’ordre. Les réunions laissent place à deux scènes dans lesquelles Pierre Niney et Antoine Gouy remettent le thème du consentement au cœur du débat, le tout rythmé d’un joli ton humouristique.

Parce-que selon la chanteuse l’abolition des clichés sexistes passe d’abord par l’éducation de toutes les générations, elle décide d’approcher le féminisme dans sa globalité en traitant des questions de genres, de harcèlement au travail ou dans les transports, de pilosité, de slut-shaming, de la fétichisation des femmes noires, de charge mentale, et de censure de la nudité.

Angèle

En plus de porter un message fort et engagé, Angèle et Charlotte Abramow ont décidé de collaborer avec la marque féministe Meuf Paris pour la création d’une collection capsule retrouvée dans le clip, dont l’ensemble des bénéfices seront reversés aux associations « Centre 320 rue Haute » en Belgique et « La Maison des Femmes x Saint-Denis » en France, qui agissent toutes les deux en faveur des femmes victimes de violences.

Article rédigé par Anaïs Merad

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