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Deezer lance son podcast « Gang stories » avec Joey Starr comme premier invité

Pour raconter des histoires incroyables de gangsters méconnus, Deezer recrute Joey Starr dans le cadre du premier épisode.

Devenues de véritables piliers dans l’industrie de la musique et plus principalement du rap, les plateformes de streaming ne cessent de se renouveler et de se réinventer. Ainsi, en plus des populaires playlists, certaines, comme Deezer, proposent de nouveaux podcasts aux thèmes parfois insolites. On découvre ainsi « Gang stories », la nouvelle création originale de Deezer autour d’histoires de gangs méconnues du grand public.

Et pour son premier épisode, Deezer recrute ainsi Joey Starr pour raconter les histoires de Christopher Coke, Stanley Williams et William Da Silva Lima. « Vous trouvez que j’ai une tête de mauvais garçon ? Après avoir écouté ‘Gang stories’, vous me trouverez doux comme un agneau… Ou presque », voici comment le rappeur emblématique du groupe NTM tease ce nouveau concept.

Une série de podcasts également décrite par Deezer de la façon suivante :

« Jacques Mesrine, Pablo Escobar, Al Capone. Tout le monde les connait. Mais le monde du crime regorge de figures moins connues, à la réputation tout autant redoutable. Des personnalités souvent issues de la rue, qui ont su en manier les codes et la violence pour se hisser en haut de la pyramide sociale. Ils s’appellent Christopher « Dudus » Coke, Stanley « Tookie » Williams, William Da Silva Lima. Leur « profession » : gangster, voyou, criminel, thug, don, parrain, bad boy.

Les qualificatifs ne manquent pas pour évoquer ces chefs du « milieu », qui ont influencé la musique, la culture, la société, la politique et parfois même l’histoire de leur pays. De Kingston à Los Angeles en passant par Rio, les gangs et leurs boss ont toujours su vivre du business illégal, mais ont également joué les rôles de bienfaiteurs dans les ghettos, territoires laissés pour compte par les pouvoirs publics et les autorités. Et si ces chefs de gangs, considérés par certains comme des Dieux, par d’autres comme des démons, n’étaient en réalité que le fruit des sociétés qui les ont vus naître ? C’est bien connu, toute société a les criminels qu’elle mérite. »

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